Selon une étude du M.I.T, (Massachusetts Institute of Technology ) parue dans la revue PLOS ONE, le cerveau des jeunes enfant présenterai des capacités d’apprentissage incroyable les rendant même capable de discerner et mémoriser jusqu'au nuances subtiles de une langue. Capacité qui peut représenter un véritable défi chez les adultes et même les adolescents (théorie de la linguiste Elissa Newport en 1990 sur la difficulté d’apprentissage des nuances d’une nouvelle langue chez l’adulte.) Les chercheurs du M.I.T situent d’ailleurs la fin de cette période d’apprentissage facilité du langage autour de l’adolescence qui eux excellent plus généralement dans mémorisation du vocabulaire nécessaire aux activités quotidiennes de base. Il est plus difficile d’assimilé un autre schéma linguistique un autre pour faire l’apprentissage d’une nouvelle langue puisqu’ils ont déjà un encrait dans leurs têtes, avec ses automatismes et son fonctionnement propre.
L’explication est simple pendant l’apprentissage les adultes et les adolescents essayaient d’analyser trop d’informations à la fois. Les enfants eux ont un cortex préfrontal du cerveau moins développé (partie du cerveau qui joue un rôle essentiel pour ce qui est du langage, de la mémoire et des fonctions cognitives ou sociales.) et ils deviennent donc plus réceptif pour aborder la gymnastique mentale que représente l’apprentissage d’une nouvelle langue.